
Dans la même lignée que le plan vélo qui avait vu le jour en 2021, la Ville s’engage dans l’élaboration d’un plan piétons afin de promouvoir et faciliter les mobilités actives. « Nous nous posons déjà la question des piétons dans tous nos aménagements, et de nombreuses actions ont déjà été menées. Les déplacements piétons font aussi partie intégrante de notre feuille de route autonomie et inclusion », note Carine Hue, conseillère déléguée aux mobilités.
Un plan piétons, pourquoi ?
Parce qu’on est tous, à un moment ou un autre de la journée, piéton. Et parce que quel que soit l’âge, le genre ou le handicap, développer la marche dans la ville c’est améliorer la qualité de vie et la santé. « L’objectif du plan piétons est de renforcer l’attrait des déplacements piétons pour le bien-être des habitants, dans une ville apaisée », poursuit Carine Hue. Le plan piétons vise principalement la marche pour les déplacements quotidiens, sans exclure les itinéraires également utilisés à des fins touristiques, de loisirs et de santé.
Un outil numérique
« Pour comprendre comment les usagers se déplacent dans la ville, quels sont les endroits qui posent problème, quels sont ceux où la marche est agréable, nous avons besoin d’un maximum d’informations, que les usagers eux-mêmes pourront nous fournir. » Pour cela, un outil numérique simple, basé sur une cartographie, permet de renseigner, pour une rue ou un tronçon de rue, plusieurs critères : la praticabilité, le confort, la sécurité. « Le fait de pouvoir renseigner des petits tronçons de rues permet d’identifier précisément des discontinuités piétonnes. »
Et après ?
L’étape du diagnostic avec cet outil numérique Ville marchable s’achèvera en septembre 2025. L’étude se poursuivra jusqu’en 2026 pour identifier et analyser les potentiels de marche ainsi que les freins à la marche sur le territoire. Dans un second temps, des solutions seront proposées pour améliorer les conditions de déplacement des piétons. Ces actions seront structurées sur plusieurs années.
Modalités de l’enquête
Les habitants et usagers de la ville sont invités à témoigner sur le site lannion.ville-marchable.fr jusqu’au 30 septembre. La notation de quelques rues ne prend que 5 à 10 minutes de temps. Conseil : pensez à noter d’abord sa rue, puis élargir à celles qui permettent d’accéder à des commerces, des établissements scolaires ou de santé, des transports ou des espaces verts.Il est possible de ne donner son avis que sur certains critères.
Pour les personnes ayant besoin d'aide pour répondre à l'enquête, contactez Tiphaine Robbe au 06 77 37 38 71.

C'est une vaste friche industrielle qui prend une nouvelle voie : les 7 000 m2 d'anciens locaux d'Alcatel deviennent le Skope, un équipement à la croisée des mondes économiques et culturels. Au coeur de l'espace Corinne Erhel, voisin de la toute nouvelle Maison des Entreprises, "le Skope est un levier de développement, un outil de rayonnement", résume Gervais Egault, président de Lannion-Trégor Communauté, au moment de l'inauguration mercredi 4 juin.
L'atout principal de ce parc des évènements est sa modularité : sur 6 000 m2, 5 espaces peuvent acueillir différents types d'évènements. La grande salle (jusqu'à 4 500 personnes debout, gradins rétractables), trois salles annexes de 412 à 893 m2, un hall d'accuiel de 720 m2 se prêtent à toutes les configurations : spectacle et concert de grande envergure, mais aussi salons, séminaires d'entreprises, tourisme d'affaires, etc. Ce jeudi 5 juin, c'est Alain Souchon qui lance l'équipement, avec un concert qui affiche complet. Sont également programmés Julien Clerc, Calogero et d'autres grands noms, ainsi que plusieurs spectacles d'humour. "En novembre, nous aurons un salon de l'habitat et un salon du bio et des créateurs, on pourra arriver à une centaine d'évènement dans l'année", annonce Vincent Peronnet, directeur du Skope.
En attendant, tout un chacun pourra découvrir ce nouvel équipement trégorrois, complémentaire à ceux déjà présents sur le territoire, ce samedi 7 juin 2025, lors de la journée inaugurale dédiée aux familles. Exposition, animations, concerts, spectacles : toute la journée est en accès libre pour célébrer l'ouverture du lieu, pour petits et grands !
Voir le programme détaillé de la journée.

En fin d'année 2024, la Ville invitait les Lannionnaises et les Lannionnais à proposer leurs idées pour la 3e édition du Budget Participatif.
Ce dispositif, véritable outil de participation citoyenne, permet à tout un chacun de proposer un projet ou une idée pour la ville. Après une phase d'analyse des projets déposés, place au vote, par les habitants et usagers de Lannion, pour choisir les projets qui seront réalisés, dans la limite d'un budget de 120 000 €.
Pour cette édition, 22 projets ont été déposés entre novembre 2024 et janvier 2025. La commission de suivi a étudié tous ces projets. Elle est composée de 6 habitants volontaires et 6 élus municipaux, avec l'appui technique des services municipaux. La commission vérifie notamment la recevabilité des projets proposés, à savoir s'ils entrent bien dans le cadre du budget participatif. Au final, 18 projets étaient recevables : les 18 porteurs de projet ont donc été rencontrés pour vérifier la faisabilité de leur idée, aux niveaux financier, technique et réglementaire. A l'issue de ces rencontres, deux projets ont été fusionnés et 3 ont été déclarés non réalisables, 14 projets sont donc soumis au vote des habitants :
- un parc de streetworkout et de bien-être - 20 030 €
- une fresque décorative sur l'école de Pen ar Ru - 10 000 €
- des jeux pour les jeunes enfants au parc Sainte-Anne - 23 868 €
- un théâtre de verdure au moulin du duc - 29 948 €
- des gradins pour le spectacle vivant - 5 886 €
- des jeux de plage pour tous à Beg Léguer - 4 358 €
- un terrain de pickleball à Park Nevez - 26 922 €
- un arbre à palabres - 11 314 €
- des bancs papote - 13 220 €
- des toilettes sèches au Stanco - 23 214 €
- une promenade éducative canine innovante - 27 861 €
- un préau végétalisé à Ker Uhel - 6 944 €
- des hôtels pour les chauves-souris - 4 872 €
- des parcs à vélo sécurisés - 20 000 €
Le coût total des projets mis au vote s'élève donc à 228 437 €. Voir le descriptif détaillé des projets sur lannion.bzh/budget-participatif-3.
Pour voter
Jusqu'au 22 juin, les habitants et usagers de la ville sont invités à voter pour leurs 3 projets préférés, en les ordonnant par ordre de préférence. Le premier aura 3 points, le second 2 points et le troisième 1 point. Les projets seront donc classés en fonction du nombre de points obtenus : ceux qui arriveront en tête du classement, dans la limite des 120 000 € dédiés, seront réalisés par la Ville. Les résultats seront dévoilés le 25 juin 2025.
Pour voter : rendez-vous sur participation.lannion.bzh, ou votez dans les urnes dédiées à la mairie, à l'Espace Sainte-Anne, au centre social L'Horizon et au centre social Saint-Elivet.

La Ville de lannion a parfois des stocks de matériels dont elle n'a plus l'utilité. C'est ainsi qu'un lot de mobilier scolaire a été mis en vente sur un site spécialisé, mais il n'a pas trouvé d'acquéreur. Qu'à cela ne tienne, les tables, chaises, bancs et tableaux ne seront pas jetés pour autant : ils ont été chargés dans un camion pour partir pour l'Afrique cet été.
C'est le résultat de la rencontre entre Gianni Fallavollita, agent municipal et pompier à Lannion, avec un de ses collègues de la caserne, engagé dans l'association ACAUPED (Association de coordination d'actions utiles pour les pays en développement), qui oeuvre depuis 1986, principalement dans le domaine de la santé. Franck Girault est parti en Guinée l'an dernier pour une mission avec les pompiers. "Au retour, j'ai raconté mon séjour aux collègues, évoquant les autres projets de l'association, notamment la construction et l'équipement d'une école pour 50 à 60 enfants de Mamou, en Guinée", dit-il. C'est là que la connexion se fait avec ce mobilier municipal en stock...
"L'objectif est de construire une école type, qui pourra être reproduite dans le pays, en utilisant des matériaux locaux", poursuit Franck Girault. Dans l'école actuelle, avec ses murs de tôle, la chaleur devient insupportable dans les périodes de fortes chaleurs : l'isolation du bâtiment sera un vrai confort pour les élèves et l'enseignante. Y seront aussi implantés des toilettes, points d'eau et panneaux photovoltaïques. Au total, un projet à environ 70 000 €. "L'association a déjà trouvé près de 80% des financements. Ce qui coûte très cher, c'est le transport du container", poursuit Franck Girault. Ce container, qui partira de Bretagne en août, contiendra du matériel médical, du matériel pour les pompiers ainsi que le mobilier scolaire offert par la Ville : 40 bureaux individuels, 10 bureaux doubles, des petites tables, des chaises, un tableau. "Je repars en Guinée en octobre pour une formation avec les pompiers sur place puis pour le suivi du projet de l'école, dont la construction viendra de débuter. C'est toujours une expérience très enrichissante, avec des échanges passionnants !", se réjouit le bénévole.

La requalification du quartier de Nod Huel est un projet de longue date à Lannion. Ce site présente en effet des enjeux stratégiques (entrée de ville, zone commerciale, espace naturel avec des boisements et une zone humide), mais aussi des contraintes fortes (submersion marine et pollution due à une ancienne usine à gaz). Si les premières études datent de 2005, en début de mandat, "nous les avions relancées en y intégrant la construction d'un quatrième pont sur le Léguer", rappelle le maire, Paul Le Bihan. Entre temps, le projet de pont a été abandonné, Anthénéa s'est implantée sur le site, la végétation a repris ses droits sur la friche industrielle...
"La Ville est propriétaire de certaines parcelles foncières, via l'Établissement Foncier de Bretagne (EPFB). La convention avec l'EPFB arrive à échéance en juin 2026 : il est donc urgent d'aller au bout des termes de la convention", explique Paul Le Bihan. Cela concerne notamment un îlot au sud de Nod Huel, avec trois locataires à bail précaire (Amisep, AGT Kermeur, Protection Civile). "Nous avons rencontré ces locataires ainsi que tous les professionnels de la zone pour leur présenter les étapes à suivre. En premier lieu, il nous faut libérer les locaux de l'îlot sud d'ici à l'automne, qui seront démolis pour réaliser les derniers diagnostics", précise Corentin Le Toullec, chargé d'opérations d'aménagement, recruté pour finaliser le projet de Nod Huel (poste financé par la Banque des Territoires). "Avec Lannion-Trégor Communauté, nous allons accompagner ces locataires afin de trouver une solution de relogement", ajoute Corentin Le Toullec.
"Aujourd'hui, on est assez libre sur le projet qui sera proposé", note Françoise Le Men, adjointe à l'urbanisme. "Notre but est d'accompagner le développement économique de Nod Huel, de faire en sorte que les commerçants qui y sont installés puissent y rester, tout en requalifiant cet espace." Concernant la possible installation du Carré Magique sur ce secteur, "une étude est en cours, nous créons les conditions pour pouvoir potentiellement accueillir cet établissement à Nod Huel", précise Corentin Le Toullec. Sans remettre en cause les études et orientations déjà établies, Corentin Le Toullec va proposer un projet optimisé : "On ne part pas d'une feuille blanche. On réfléchit à y intégrer du logement. Le volet biodiversité et la liaison avec le parc Sainte-Anne, tout proche, sont aussi un nouvel enjeu pour le projet." En effet, au fil des années, toute une végétation s'est installée à Nod Huel, renforçant la biodiversité sur le site. L'objectif est de pouvoir présenter, à l'été 2026, un plan-guide finalisé avec un montage juridique et financier du projet.

"Ça nous fait changer d'air, et c'est l'aventure !", se réjouit Annie quand elle évoque les balades en triporteur. Avec Yves, lui aussi résident de l'Ehpad Hernot, ils sont des inconditionnels de la promenade du mercredi : Philippe, bénévole, les emmène autour du centre-ville, ou bien du côté du Stanco ou du Moulin du Duc pour une sortie plus nature... "Nous partons pour 3/4 d'heure ou une heure. Parfois plus, parce qu'Yves connaît beaucoup de monde en ville, alors on s'arrête !", dit-il en souriant. Jeune retraité, Philippe conduisait des mini-bus pour les personnes à mobilité réduite. En devenant bénévole pour À vélo sans âge, il a voulu maintenir ce contact avec des personnes parfois isolées. "C'est un moment de partage et d'échange, on rigole beaucoup ! Et puis, on les bichonne, nos passagers...", dit-il en ouvrant le coffre sous le siège, dévoilant coussin et plaids en cas de froid. Aujourd'hui, Annie emmène Jeanne avec elle, le triporteur étant conçu pour un ou deux passagers.
Certes, il faut s'habituer au vélo : le guidon n'en est pas vraiment un, il emporte toute la nacelle avec lui. Avec l'assistance électrique, Philippe ne relève pas de difficulté particulière. "Nous roulons en moyenne à 7 km/h, c'est peu: les voitures et autres véhicules ont le temps de nous voir arriver, ils sont prudents quand il nous voient." Si Philippe vient chaque mercredi après-midi à l'Ehpad Hernot, d'autres bénévoles prennent parfois le relais. "Le fils d'un couple de résidents a commencé par emmener ses parents, puis peu à peu il a transporté d'autres personnes. Le triporteur sort 3 à 4 fois par semaine", explique Marie-Anne Queffélec, animatrice à l'Ehpad Hernot et référente de l'antenne lannionnaise d'À vélo sans âge. Et la balade se termine souvent autour d'un petit café partagé, toujours dans la bonne humeur !
"Ces sorties sont un vrai plus pour nos résidents, une bouffée d'air", confirme Clémence Le Couster, directrice adjointe des Ehpad de la ville. C'est pourquoi l'envie est forte de faire profiter aussi les résidents de l'Ehpad Sainte-Anne de ce dispositif. "Pour cela, nous avons besoin de davantage de bénévoles ! Ensuite nous pourrons réfléchir à l'achat éventuel d'un second triporteur", dit-elle.
Pour s'investir, pas besoin d'être un cycliste chevronné. Les nouveaux bénévoles commencent par rencontrer Philippe puis une sortie est réalisée en binôme pour s'imprégner des parcours. Seule obligation : une adhésion annuelle de 12 € utilisée exclusivement pour les frais d'assurance.
Contact : Marie-Anne Queffelec au 06 77 89 29 95 (par SMS)

Mardi 6 mai, la lannionnaise Juliette Marquet était l'invitée d'honneur de la Ville. En mars, elle avait reçu, avec son compagnon et réalisateur Loïc Espuche, le césar du meilleur court métrage d'animation pour "Beurk" : une histoire de bisous sur la bouche, chose dégoûtante et pourtant un peu attirante, sur fond de vacances au camping. En mai, c'était au tour du maire, Paul Le Bihan, de lui remettre la médaille de ville pour son travail en tant que co-productrice sur ce film. Juste avant la petite cérémonie, elle a reçu quelques élèves du Rusquet, l'école qu'elle a fréquentée dans son enfance. Elle s'est alors prêtée au jeu des questions-réponses...
Pourquoi tu aimes le cinéma? Et c'était quoi ton premier film?
Je crois que ce que j'aime au cinéma, ce sont les histoires. Mes premiers films, c'était au collège avec des copines. J'avais pris l'appareil numérique de ma mère et on refaisait les scènes de Cendrillon, de Blanche-Neige...
C'est quoi comme métier, productrice? Est-ce que c'est facile, et pourquoi tu paimes ce métier?
Le producteur, c'est le partenaire du réalisateur, son bras droit. Je dois faire en sorte que tout se passe bien. Je dois trouver l'argent pour faire le film, je dois respecter les délais. Ce n'est pas facile car il y a beaucoup de poids invisible sur nos épaules, et puis, il faut parfois "faire le flic", et ça c'est un peu dur. En fait, pour faire un film, il y a deux chefs : le réalisateur est le chef artistique, et le producteur est le chef de l'argent. Dans la production, on fait beaucoup de choses différentes, on parle à plein de gens, c'est un métier très actif et c'est ce qui m'intéresse.
Pourquoi avoir choisi cette histoire et ce titre?
D'abord, ce n'est pas mon histoire, c'est celle du réalisateur, Loïc Espuche (qui est aussi mon amoureux!). C'est parti d'un autre film qu'il avait fait, et quand il le projettait à des enfants, ils criaient et étaient dégoûtés sur la scène du bisou, qui était pourtant juste un bisou sur le front! Il a voulu explorer ce sujet, le mélange entre le dégoût et le "peut-être que c'est intéressant quand même..." C'est de là aussi que vient le titre, c'est beurk mais c'est rose !
C'est quoi un césar?
C'est une récompense décernée par l'Académie des césars, qui est un comité de gens du cinéma. Ils se réunissent et élisent le meilleur film, le meilleur acteur, le meilleur réalisateur, etc. C'est une reconnaissance de la part de gens avec qui on travaille.
La rencontre s'est terminée avec une séance de dédicaces et de photos !

En mai, fais ce qu’il te plaît, e brezhoneg ! C’est tout un programme de culture bretonne qui nous attend ce mois-ci, avec en fil conducteur les 120 ans de la naissance d’Anjela Duval.
Le spectacle La Terre, celle qui l’aime de la Cie Famille Petitplus, mêlant illustration, chant et musique, sera proposé vendredi 16 mai à 20h, à l'Espace Sainte-Anne. Il sera prolongé par une exposition dans la galerie de l’Espace Sainte-Anne.
Samedi 17 mai, vous pourrez découvrir, en français ou en breton, le fonds Anjela Duval, tous ses cahiers et ses écrits étant conservés à Lannion.
Le point d’orgue de ce mois breton sera sans nul doute le Printemps des Sonneurs, les 17 et 18 mai sur les nouveaux quais d’Aiguillon !
Découvrez toute la programmation ici !

Le vote du budget, fin mars, est un moment clé pour la collectivité : c’est là que s’incarne concrètement la politique municipale. C’est à cette occasion que sont votés les projets d’investissement, qui auront un impact sur le climat. Impact positif s’il s’agit de mesures d’atténuation, comme l’isolation thermique des bâtiments, ou négatif si les dépenses soutiennent la consommation d’énergies fossiles, par exemple la construction de nouvelles voies automobiles. Afin d’identifier ces effets sur le climat et de nourrir les discussions et les décisions, il est nécessaire d’évaluer les dépenses en fonction de leur impact sur les émissions de gaz à effet serre et donc sur le climat : c’est le budget vert.
« Cet outil nous permet de vérifier très facilement que la majorité de nos dépenses auront un effet positif ou neutre sur le climat et de s’assurer que les dépenses classées défavorables sont bien nécessaires. Notre ambition municipale est de prendre notre part dans la trajectoire de neutralité carbone de la France d’ici 2050 », souligne Cédric Seureau, adjoint chargé des finances.
Un référentiel et 5 catégories
Concrètement, chaque ligne budgétaire est passée au crible de ses effets sur le climat et classée dans l’une des 5 catégories : très favorable, plutôt favorable, neutre, défavorable ou indéfini. « Nous prenons en compte les dépenses d’investissement de plus de 8 000 €, soit 94 % du budget prévisionnel d’investissement », précise Jean Barré, directeur du service financier. Ni le budget de fonctionnement ni les budgets annexes ne sont pour l’instant concernés par cette évaluation. « Nous disposons du référentiel I4CE (Institute for Climate Economics), mis en place par un bureau d’études et des collectivités. Chaque type de dépense y est listé et classé dans l’une des catégories », explique Cécile Greffion, chargée de mission transition écologique. Par exemple, la création d’une nouvelle route pour les véhicules motorisés sera défavorable, tandis qu’elle sera très favorable si elle est à destination des cycles et piétons (par exemple, travaux de l’avenue de la Résistance) ou favorable pour les transports collectifs non décarbonnés. L’entretien d’une voie pour véhicules motorisés sera neutre, mais très favorable si c’est une voie pour les mobilités douces ou les transports collectifs. Pareil pour l’entretien des bâtiments : l’action est globalement neutre mais passe en favorable si elle s’accompagne d’une rénovation thermique. « Parfois, il faut diviser la somme inscrite au budget : sur 30 000 € d’achats de plantations, 5 000 sont classés très favorables car ils concernent des arbres, 25 000 sont neutres car ce sont des arbustes et autres plantes, avec un impact moins significatif sur le climat », illustre Cécile Greffion. Quand on ne peut évaluer l'impact d'une dépense, elle est classée en "indéfini".
Au vu de l’analyse 2025, il apparaît que la Ville maintient une forte orientation en faveur du climat dans ses projets d’investissement. « L’évaluation nous permet de nous comparer d’année en année et de vérifier qu’en 2025 la part du très favorable continue à augmenter », soutient Cédric Seureau. Cécile Greffion complète : « La part des investissements qui se retrouvent dans la catégorie défavorable est liée à des achats sur lesquels nous avons peu d’alternatives, notamment les gros véhicules techniques, le matériel informatique et la construction de bâtiments. » Par exemple, 180 000 € sont provisionnés pour la construction de logements sociaux : c’est une action défavorable par rapport au climat (construction neuve, artificialisation des sols…), bien que nécessaire et bénéfique sur d’autres aspects (logement, action sociale).
Bientôt d'autres indicateurs
« L’évaluation climatique du budget est complémentaire à d’autres démarches d’évaluation, notamment le bilan carbone. Par ailleurs, il évalue seulement les impacts sur l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre et même si à l’avenir nous évaluerons d’autres axes comme l’adaptation au changement climatique ou la ressource en eau, il ne prend pas en compte l’impact social des investissements. Une dépense climatiquement neutre peut fort heureusement être socialement très favorable ! », complète Cédric Seureau.

Dans le cadre du programme « Action Cœur de Ville », la Ville de Lannion lance un appel à candidatures pour occuper temporairement plusieurs espaces publics du centre-ville durant la saison estivale 2025.
L’objectif est de renforcer l’attractivité du cœur de ville en accueillant des animations variées, à but lucratif ou non lucratif, accessibles à tous les publics.
Différents lieux emblématiques sont proposés, du quai d’Aiguillon au jardin d’Aiguillon, en passant par la place du Général Leclerc ou le parvis de la gare. Chaque site présente ses propres caractéristiques en matière d’équipements et de contraintes liées au marché ou aux événements déjà programmés. Ces espaces pourront accueillir des activités culturelles, ludiques, artisanales, touristiques ou économiques, à condition de respecter les équilibres locaux et de s’inscrire dans une logique de complémentarité.
Les modalités d’occupation, les périodes proposées, les conditions financières et techniques, ainsi que les éléments attendus pour le dépôt de candidature sont détaillés dans ce document.
Les candidatures sont à déposer avant le 20 mai 2025 à 17h, par voie postale ou électronique.
Au-delà de cette date, les dossiers seront examinés en fonction des disponibilités restantes.
Pour tout renseignement complémentaire, il est possible de contacter les services techniques de la Ville.

Que vous soyez cycliste régulier, occasionnel ou même non-cycliste, votre ressenti compte ! Le Baromètre vélo, grande enquête citoyenne, vous permet d’évaluer les conditions de circulation à vélo dans votre commune :
- Sécurité sur les routes et pistes cyclables
- Qualité des aménagements et signalisation
- Disponibilité des stationnements et services vélo
En 2021, le Baromètre vélo a recueilli plus de 275 000 réponses pour 1620 communes classées !
En quelques minutes, vous pouvez donner votre avis sur le confort et la sécurité du vélo à Lannion. Chaque réponse contribue à faire évoluer les politiques locales et à améliorer les infrastructures. Les résultats du Baromètre vélo sont un retour concret du terrain pour mieux comprendre les besoins et priorités des usager·es. C'est un outil précieux d'aide à la décision et à l'action pour les collectivités.
Je participe à l'enquête : https://www.barometre-velo.fr/

On a vu beaucoup de sourires sur le quai d’Aiguillon, samedi ! Ça a commencé avec les sourires des enfants qui défilaient, déguisés, à l’occasion des Marmouzeries de printemps. Puis il y a eu ceux des dizaines de cyclistes arrivés avec leurs vélos fleuris, ceux des passants qui découvraient la nouvelle place, les sourires des résidents des Ehpad, qui pouvaient se déplacer facilement en fauteuil, les sourires des élus, fiers du travail accompli, les éclats de rire des jeunes au fur et à mesure que la musique a commencé à monter, et enfin, après un peu d’impatience car la nuit a mis du temps à tomber, les sourires d’émerveillement de la foule massée sur l’esplanade au moment du lancement de l’illumination…
On a entendu beaucoup de choses positives aussi : « il y a plus de végétation, ce sera beau quand tout aura poussé », « ces gradins, c’est chouette pour s’asseoir ! », « à roller ça roule super bien ! », « super ces groupes de jeunes pour lancer la soirée ! ». Et puis enfin, à la nuit tombée : « magique toutes ces lumières ! Trop beau ! Whaou ! On danse ?! »
On a rencontré beaucoup de monde tout au long de la journée, environ 10 000 personnes sur une place vivante, animée, conviviale ! Pendant que certains flânaient le long du Léguer ou pique-niquaient sur les gradines, d’autres buvaient un verre à la guinguette, se posaient dans les transats ou dansaient devant la scène des jeunes...
C’était tout ça l’inauguration des quais, samedi à Lannion !
Une inauguration, c’est aussi un moment officiel. La découpe du ruban tricolore s’est faite au beau milieu du public, dans un moment joyeux et populaire. Le maire de Lannion, Paul Le Bihan, était accompagné du Préfet du Département François de Keréver, de la sous-préfète Pauline Dubus, de la conseillère régionale Fanny Chappé, du conseiller départemental Patrice Kervaon, du président de Lannion-Trégor Communauté Gervais Egault et du député Éric Bothorel.
L’aménagement des Rives du Léguer est un projet emblématique de la Ville de Lannion, qui s’inscrit dans le schéma Lannion 2030. Le chantier des quais en était le point névralgique. Il avait pour ambition de redonner toute sa place au Léguer tout en disposant d’un espace convivial, plus arboré, ouvert à toutes sortes d’animations et favorisant les mobilités douces. Pari réussi, grâce aux financements des nombreux partenaires : sur un total de 2,4 millions d’euros, l’État a apporté 325 000 € (Dotation de Soutien à l’Investissement Local), la Région Bretagne 150 000 € (appel à projet Bien Vivre en Bretagne), le Département des Côtes d’Armor 350 000 € (Contrat de territoire) et Lannion-Trégor Communauté 250 000 €.
Cette nouvelle place est la vôtre ! Avec les premiers soleils du printemps, nul doute qu’elle restera très fréquentée en attendant le prochain évènement de grande envergure : rendez-vous les 17 et 18 mai pour le Printemps des Sonneurs !

Issus d'une quarantaine de lycées bretons, 84 jeunes âgés de 14 à 20 ans composent le Conseil Régional des Jeunes (CRJ), élus pour 2 ans. Mis en place depuis 20 ans, le Conseil Régional des Jeunes a fait évoluer son fonctionnement sur cette mandature, en délocalisant ses sessions dans les villes bretonnes. Ce mercredi, Lannion a donc accueilli la seconde session de la mandature 2025-2027, à l'Espace Sainte-Anne.
"Nous choisissons les territoires qui peuvent apporter quelque chose aux jeunes, ceux qui ont une politique jeunesse volontariste, comme c'est le cas à Lannion", explique Pierre Pouliquen, vice-président du Conseil Régional pour la jeunesse et l'égalité des droits. La Région Bretagne a impulsé un nouveau mouvement pour la jeunesse, ouvrant ses instances aux jeunes du CRJ, et notamment la commission Jeunesse et égalité des droits : "Leur présence à la commission fait bouger les lignes, même s'ils n'ont pas le droit de voter les décisions. Quand les jeunes posent une question, souvent en mettant les pieds dans le plat, on est obligé d'y répondre !", se réjouit Gaby Cadiou, conseillère régionale déléguée à la jeunesse.
Le Conseil Régional des Jeunes, reflet d'une diversité
"Pour cette mandature, nous avons été chercher des jeunes dans des lycées qui n'avaient jamais eu de représentants au CRJ. Ils viennent de lycées généraux, technologiques, agricoles, maritimes... On a changé la façon de faire, et lors du week-end d'intégration en mars, plusieurs jeunes nous ont remercié d'être venus les chercher. C'est une belle récompense !", lance encore Gaby Cadiou. Pour Corentin, du lycée Savina à Tréguier, participer au CRJ c'est "une chance de pouvoir porter la voix d'un grand nombre de jeunes bretons. Être écouté, ce n'est pas donné à tout le monde !". Pour Victor, du lycée martime Pierre Loti à Paimpol, c'est "pouvoir aider les jeunes qui en ont besoin", à travers la mise en place d'actions qui leur rendront service.
Les jeunes ont défini 4 thématiques sur lesquelles ils travailleront au long de leur mandat : santé mentale, accès aux droits, identité régionale et sport & culture. Mercredi, à Lannion, ils ont pu rencontrer des personnes ressource du territoire sur ces questions, puis travailler en commission et en plénière pour commencer à bâtir les projets et les actions qu'ils souhaitent mettre en oeuvre au bénéfice des jeunes bretons. Cette journée était aussi l'occasion pour eux de découvrir les dispositifs mis en place par le service jeunesse de la Ville en faveur des jeunes du territoire.
L'objectif premier du Conseil Régional des Jeunes est d'éveiller les lycéens et les lycéennes à l'engagement citoyen et à la conduite de projets. "La temporalité des jeunes est différente de la notre. Il faut que ce soit tout de suite et maintenant. Si les projets qu'ils proposent ne sont pas mis en place dès la fin du mandat, il savent que nous pouvons prendre la suite, comme ça a été le cas avec le congé menstruel dans les lycées, qui nécessitait d'être plus abouti et sera expérimenté en septembre 2025", conclut Gaby Cadiou, très enthousiaste.

Les nouveaux quais de Lannion sont à peine achevés que les Lannionnais et les visiteurs sont déjà nombreux à y passer, pique-niquer sur les gradines ou flâner entre amis sur les berges...
Bonne nouvelle : l'espace s'animera ce jeudi avec le retour tant attendu des commerçants du marché non alimentaire sur les quais ! Rendez-vous jeudi 17 avril pour découvrir les quais sous un nouveau jour !
Et comme une bonne nouvelle ne vient pas seule, rappelons que la guinguette L'escale du Léguer a ouvert ses portes la semaine dernière, dans le square de la Poste (près de l'ancien Office de Tourisme). Profitez de la vue sur le Léguer et de cet espace végétal pour un déjeuner, un dîner ou une boisson en journée. C'est ouvert tous les jours de 10h à 22h, sauf le mardi !

Les Journées européennes du patrimoine se dérouleront les 20 et 21 septembre 2025 et fêteront leur 42e édition, mais également le 50e anniversaire de « l’Année européenne du patrimoine architectural » de 1975. D'où la thématique de cette année le : « Patrimoine architectural ».
La Ville de Lannion est heureuse d'inviter les associations et structures qui le souhaitent à contribuer à cette manifestation phare de la programmation culturelle.
Vous pourrez trouver plus d'informations en cliquant sur la page dédiée sur le site du ministère de la Culture : Cliquez ici).
Si vous souhaitez participer, nous vous invitons remplir cette fiche d'information. Les modalités d'envoi sont indiquées dans le fichier ODT.
Merci de faire part de votre participation et de vos idées avant le lundi 26 mai 2025.

Dans le cadre de sa politique culturelle, la ville de Lannion organise la Fête de la musique le samedi 21 juin et invite les associations et musiciens bénévoles de son territoire à y participer.
Cette année, la fête de la musique tombant un samedi, nous vous proposons d'ouvrir les scènes :
Dès 13h30 pour la chapelle Sainte-Anne
Dès 14h30 pour la cour de l'espace Sainte-Anne
Dès 14h30 pour le Quai d'Aiguillon (qui remplace la scène de Caërphilly)
Dès 15h00 pour la place du Général Leclerc
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Les Assemblées de Lannion, instances de démocratie participatives mises en place il y a un an, poursuivent leur travail. Les six assemblées se sont réunies à trois reprises et ont chacune choisi un projet qu'elles développent avant de le présenter à la municipalité.
A Ker Uhel-Kerligonan, la quatrième rencontre a eu lieu mardi 8 avril, sur le terrain. "L'objectif est de tester grandeur nature les éléments sur lesquels l'assemblée a travaillé lors des premières rencontres", explique Marion Roussel, chargée de mission démocratie participative. La première réunion avait pour but d'identifier des besoins communs sur le quartier, les deux autres ont permis d'affiner un projet qui faisait sens pour tout le monde : valoriser les boucles vertes de Ker Uhel et Kerligonan. "Nous souhaitons identifier et baliser les chemins piétons qui existent déjà dans le quartier, mais qui ne sont pas toujours connus", explique Chantal David, habitante membre de l'assemblée.
Ce soir-là, ils sont donc réunis ,avec quelques agents municipaux et élus pour parcourir la petite boucle qui a été identifiée et vérifier sur le terrain les difficultés potentielles, la présence de mobilier urbain, le jalonnement, les continuités piétonnes... Ensuite, deux autres boucles pourraient aussi faire partie du projet de valorisation.

Le service Action culturelle de la Ville de Lannion et L’Imagerie s’associent une nouvelle fois en 2025 pour la mise en place d’un atelier artistique autour de la photographie avec une artiste invitée : Coline Jourdan. Cet atelier est destiné à sensibiliser et à initier le jeune public à la photographie par le biais d’un temps de rencontre et de pratique.
Mardi 15 avril, le temps d’un après-midi, des adolescents seront amenés à pratiquer collectivement la photographie et à expérimenter le transfert de Polaroïd.
Le mercredi 16 avril, le même atelier sera proposé pour un public d’enfants accompagnés d’un de leurs parents.
Pratique :
- mardi 15 avril 2025 de 14h à 17h (11-17 ans)
- mercredi 16 avril 2025 de 14h à 17h (6-10 ans, parents-enfants)
- à l’Espace Sainte-Anne, 2, rue de Kérampont à Lannion
- gratuit, sur réservation (places limitées) :

Depuis lundi 31 mars et jusqu'à vendredi 4 avril, Jean-Christophe Le Menn (habitant de Pen ar Ru), Neven Denis (cinéaste et photographe) et Nolwenn Henry (élue municipale) cohabitent dans un appartement de Pen ar Ru pour réfléchir à une œuvre artistique autour du thème « Les oubliés de l’impasse ». Ce thème a été choisi en amont de la résidence par les habitants du quartier eux-mêmes. Voici les bases du projet de "Résidence secondaire" de l'association d'expérimentation artistique L'âge de la Tortue.
Depuis lundi, le trio habite ensemble, réfléchit, rencontre les habitants... "Nous mettons en place des choses pour nourrir la création de l'oeuvre artistique", lance Nolwenn Henry, qui raconte le porte-à-porte auprès de tous les appartements des 5 barres d'immeubles mercredi, pour exposer le projet et inviter les habitants à s'en saisir. Jean-Claude Le Menn, lui, apporte le regard des habitants et l'histoire, le vécu du quartier. "Le rythme de la semaine est assez intensif!", dit-il en riant. Cet après-midi, ils étaient à la K'Fêt de l'Espace Sainte-Anne et ont échangé sur leur projet avec un groupe de lycéens : "Nous avons une semaine pour réfléchir à une oeuvre d'art ; on ne se connaissait pas avant lundi, et on vit ensemble toute la semaine", expose Neven Denis. "Avez-vous déjà eu l'occasion d'aller à Pen ar Ru ? ", demande l'élue. Réponse négative... "C'est une expérience très riche, avec une thématique forte, qu'on cherche à matérialiser dans la future oeuvre d'art", reprend le photographe.
Vendredi, dernier jour de résidence, le trio devra rendre une note d'intention assez précise de ce que sera cette oeuvre. "Nous sommes au clair sur ce qu'on veut y mettre, mais il nous faut encore définir la forme. On a trop d'idées!", s'exclame Nolwenn Henry. Une chose est sûre, Neven Denis reviendra dans le quartier dans les mois prochains pour construire l'oeuvre avec les habitants : "C'est ainsi que je travaille depuis toujours, produire quelque chose dont on est fier collectivement. Cela pourra être une oeuvre photographique, ou une installation, une projection... Nous aimerions quelque chose qui reste et qui invite les Lannionnais à découvrir Pen ar Ru, ses habitants, son point de vue sur la ville..."
L'inauguration de l'oeuvre est prévue pour juillet au plus tard : affaire à suivre !
Lire notre premier sujet sur la Résidence secondaire

Les beaux jours arrivent, il est temps de se remettre en selle ! Ça tombe bien, la 10e édition du challenge Tout à vélo est là pour nous motiver !
Organisé à Lannion par Trégor Bicyclette et dans 10 autres villes bretonnes (Brest, Carhaix, Lorient, Morlaix, Paimpol, Plabennec, Quimper, Saint-Malo, Vannes, et une nouvelle arrivée avec Rostrenen/KreizBreizh.), le challenge est un défi non sportif qui invite à se déplacer à vélo au quotidien.
L’objectif : inciter tout un chacun à prendre son vélo (électrique ou non) plutôt que sa voiture, le plus souvent possible, pour des trajets utilitaires (aller au travail, à l’école, chez le dentiste, à la médiathèque, faire ses courses…), et (re)découvrir que c’est bon pour le moral, pour la santé, et pour le portefeuille !
Et dans ce challenge, on ne pédale pas tout seul. En équipe, en famille, ou en individuel, les kilomètres sont comptabilisés. Objectif visé pour le challenge de Lannion (qui s’étend bien entendu aux communes de Lannion-Trégor Communauté) : 10 000 km à parcourir tous ensemble !
- Le challenge débute par un « tour de chauffe », du lundi 21 avril au dimanche 4 mai 2025 : le temps de se chauffer les mollets et de se familiariser avec le comptage des kilomètres.
- Lancement festif le 26 avril (14h à 17h), avec une convergence depuis plusieurs communes de Lannion-Trégor Communauté vers les quais de Lannion, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux quais (convergence pour 15h15 quai d’Aiguillon).
- Cinq semaines de challenge du lundi 5 mai au samedi 6 juin 2025.
- Évènement de clôture le samedi 7 juin 2025.
Inscription gratuite, à partir du 21 avril, pour le tour de chauffe, sur www.lannion.challenge-velo.bzh
Baromètre vélo
Et jusqu’au 2 juin, donnez votre avis sur les conditions de circulation à vélo à Lannion. Sécurité, aménagements, stationnements… Votre ressenti compte pour améliorer les infrastructures locales.
Pour répondre à l'enquête citoyenne : https://www.barometre-velo.fr/

Tout un chacun a entendu parler des frelons asiatiques, ces insectes venus d’Inde et de Chine. Ils sont arrivés en France en 2004 par le commerce international et déciment les populations locales d’abeilles. Malgré une diminution de sa présence observée sur tout le territoire français (-30 % d’interventions sur les nids en 2024) et une stabilité dans les grandes villes, le frelon asiatique reste un danger pour la santé humaine (4 décès en 2024) mais aussi pour les ruchers : l’abeille domestique représente environ 30 % de son régime alimentaire. Son éradication est devenue illusoire, mais il est possible de limiter sa prolifération avec le piégeage préventif et la destruction des nids.
En mars 2024, les services techniques de la Ville ont lancé une campagne de piégeage. « Nous avons distribué 238 pièges sélectifs aux particuliers, qui se sont bien saisi du dispositif », relate Sandrine Thonnellier, responsable adjointe du service jardins-environnement. Mais avec seulement un tiers d’entre eux qui ont capturé des frelons, la proportion est assez faible. En parallèle, la Ville a participé financièrement à la destruction des nids primaires (15 € - reste à charge de 11 € pour le particulier) et secondaires (25 € - reste à charge de 53 à 65 € selon la hauteur). « Après une année record en 2022, avec 217 destructions de nids, les chiffres baissent en 2023 et 2024 (94 puis 88 nids). La moitié des sollicitations ne concernent pas le frelon asiatique. »
En 2025, les modalités évoluent. « Nous allons privilégier le piégeage sélectif sur l’espace public, en arrêtant la distribution de pièges aux particuliers. Les particuliers qui ne l'ont pas fait sont d'ailleurs invités à ramener les leurs aux service techniques" annonce Sandrine Thonnelier. Quant-aux aides pour la destruction des nids, on remarque que plus la participation est élevée, plus les sollicitations augmentent. Cette année, la Ville subventionne donc à 100 % la destruction des nids primaires (soit 26 € TTC par nid) et à 50 % les nids secondaires, en tendant vers 100 % d’ici deux ans (78 € ou 90 € selon la hauteur du nid). Sur une prévision d’une centaine de nids primaires et d’une centaine de nids secondaires, comme en 2022, cela implique un budget de 7 000 € pour la Ville.
Plus de 50 % des sollicitations aux services techniques le sont pour des insectes autres que le frelon asiatique (guêpes, frelons européens…). Veillez à bien identifier le frelon asiatique avant d’appeler : c’est le seul concerné par le dispositif ! Il est plus brun que l’européen, qui lui est bien jaune. Les nids primaires, de la taille d’une orange, sont souvent placés sous des abris (débord de toit, cabane de jardin…).
Toutes les infos utiles sur le frelon asiatique : https://frelonasiatique.bzh
Contact : services techniques au 02 96 46 78 20

Le maire le dit d'entrée de jeu : "A Lannion, nous avons fait le choix de ne pas remettre en cause le service public et de ne procéder à aucune coupe sombre : ni dans les services rendus à la population, ni dans l'accompagnement aux associations." C'est la ligne à laquelle la municipalité s'est tenue pour constituer son budget 2025.
Un budget de fonctionnement tendu
Alors certes, le budget de fonctionnement reste tendu. Il a fallu travailler chaque ligne du budget pour atteindre l'équilibre, des efforts ayant été demandés aux services là où il était encore possible de faire des économies. "Les charges de personnel ont été réinterrogées au cas par cas. Les départs en retraite ont pu donner lieu à des réorganisations, les apprentissages ont été gelés. L'évolution des charges de personnel (69,5% des charges de fonctionnement) est contenue, tout en dégageant l'enveloppe destinée à la 2e phase d'amélioration du pouvoir d'achat des agents", explique Cédric Seureau, adjoint en charge des finances. Les dépenses de fonctionnement sont maîtrisées, à hauteur de 28,3 millions d'euros, dégageant une un autofinancement net de 142 000 €. "Et tout cela sans recours à une augmentation de la pression fiscale, comme je m'y étais engagé en 2021", se félicite le maire.
Des investissements maîtrisés
Côté investissements, 2025 se veut dans la poursuite de l'année 2024. "Après recensement des besoins auprès des services, le volume de travaux et d'achat s'élevait à 13 millions d'euros. Il a fallu faire des arbitrages pour aboutir à un total de moins de 8,5 millions d'euros, en différant certains projets ou en les étalant dans le temps", précise Cédric Seureau. Certains travaux, qui répondent à des normes imposées ou réglementaires, ne sont pas négociables (accessibilité, désamiantage, remplacements d'éclairage public, décret tertiaire pour l'énergie dans les bâtiments...). Les principaux investissements concernent le solde de l'aménagement des quais (1,2 millions), l'hôtel de Tonquédec (800 000 €), la voirie (741 000 €), l'avenue de la Résistance (623 000 €), les bâtiments (364 000 €), etc. "Je rappelle que ce sont les collectivités territoriales qui assurent plus de 70% de l'investissement public en France, assurant ainsi un rôle majeur dans le soutien à l'économie, et notamment l'économie locale", souligne encore le maire.
Ce budget sera le dernier présenté en exercice plein du mandat, celui de 2026 sera un budget de transition. Malgré un contexte national difficile et incertain, "il maintient les grands équilibres de la ville : un endettement maîtrisé, une fiscalité stable, des dépenses et des recettes en dessous des ratios nationaux pour des villes de même catégorie, tout en permettant la poursuite du programme municipal", concluait Paul Le Bihan.

L'Office de Tourisme Côte de Granit Rose vous accueille depuis lundi dans ses nouveaux locaux ! A deux pas de son ancien emplacement près de la Poste, c'est dans l'ancienne trésorerie de Lannion, quai de Lannion, que les agents d'accueil et le personnel administratif de l'Office sont désormais regroupés, dans un bâtiment entièrement rénové. « On a toujours trouvé dommage que le personnel administratif soit installé dans des bureaux distincts, à Pégase. Là, nous sommes au coeur de l’accueil touristique et de nos missions », se réjouit Laurence Hébert, directrice de l’Office de Tourisme.
Le vaste bâtiment, acquis en 2021 par Lannion-Trégor Communauté, offre un espace d'accueil pour les visiteurs au rez-de-chaussée, avec une boutique, la billetterie, les locations de Vélek'tro, une salle de réunion et une salle de pause. Aux premier et second étages, on trouve les bureaux lumineux du personnel administratif et du centre de contact. La rénovation a obtenu le label Bâtiment biosourcés niveau 3, grâce à la pierre de Lannion préservée, les menuiseries en bois, l'isolation en laine de bois... « Ce nouveau bâtiment devient le siège de l’Office de Tourisme, un lieu identifié pour nos partenaires et central pour nos réunions d’équipe », ajoute Laurence Hébert. Outre le siège à Lannion, l’office compte 5 autres bureaux permanents et 6 bureaux saisonniers répartis sur le territoire, avec 30 personnes toute l’année et jusqu’à 55 en saison.
Au bureau de Lannion, 60 000 visiteurs viennent se renseigner chaque année, et en majorité des bretons. « L’Office de Tourisme est aussi au service des habitants du territoire : la billetterie, par exemple, rend un service à la population locale comme touristique », rappelle Carole Prud’homme, responsable communication.

Après un an de chantier, la première phase de l'aménagement des quais est achevée, et l’inauguration sera une fête !
« Nous avons voulu apporter un peu de poésie après ces grands travaux, quelque chose de radicalement nouveau à Lannion », souligne Rachel Stephan, directrice de cabinet. La société rennaise Les Spectaculaires – Allumeurs d’images propose des illuminations de façades et autres installations assez inédites, en Bretagne, en Europe et jusqu’à Sydney ! « Nos installations sont l’occasion d’une rencontre ludique avec le public, elles étonnent et donnent toujours le sourire ! », soutient Benoît Quéro, fondateur des Spectaculaires.
Pour célébrer la fin du chantier des quais, l’idée première a été de mettre en scène le patrimoine par des projections d’images. « Mais la continuité architecturale étant un peu complexe pour cette mise en œuvre, nous avons proposé une idée alternative : une installation lumineuse immersive et ludique, qui rappelle le printemps et le côté nature de la rivière », explique Benoît Quéro. Des boules et fleurs à facettes vont réfléchir les jeux de lumières sur le sol, les façades, les passants. « L’idée est de constituer une animation forte en combinant l’installation lumineuse contemplative avec une playlist : le public pourra choisir des morceaux de musique, préparés pour que la lumière pulse au rythme de la musique, sur un dance-fleur ! »
On vous attend donc le samedi 26 avril à la tombée de la nuit !
Mais autour de ce point d’orgue de l’inauguration, d’autres évènements et animations complèteront la journée, dès 14h et jusqu’à minuit. Voici le programme !

Les 1er, 4 et 5 avril 2025 aura lieu le 20ème concours régional interlycées de musique bretonne à Lannion. Pour cette occasion, les différents partenaires marquent l’événement avec trois temps forts.
Mardi 1er avril : tables rondes au lycée le Dantec
Qu’est-ce qu’un projet d’Education Artistique et Culturelle autour de la musique au lycée ? Et quelle est la place de la matière culturelle de Bretagne au regard des enjeux de transmission? Ces questions seront au cœur du programme de la quatrième Journée d’Education Artistique et Culturelle (EAC) que Bretagne Culture Diversité organise au lycée Félix Le Dantec à Lannion.
Une première table ronde aura lieu à 10h45 : Mieux comprendre le contexte des projets d’EAC menés dans les lycées bretons au travers d’actions autour de la musique. Même si le concours interlycées n’est pas identifié et financé au titre de l’EAC, il représente une illustration inspirante pour cette thématique.
La seconde table-ronde, à 14h30, nous permettra d’aller à la rencontre des acteurs et actrices de l’EAC au lycée et d’avoir un retour d’expériences concret.
Journée Bretagne Culture Diversité, mardi 1er avril de 9h30 à 17h au lycée Le Dantec, gratuit, inscription avant le 25 mars sur helloasso.
Vendredi 4 avril : concours régional interlycées
20e concours régional interlycées de musique bretonne au lycée Félix Le Dantec, sous le parrainage de Dan ar Braz, premier parrain du concours en 1996 !
Les formations musicales des lycées des 5 départements bretons se produiront toute la matinée devant les membres du jury, composé de Floriane Le Pottier, Anjela Lorho-Pasco, Elouan Le Couls, Youen Bodros, Pierre Droual.
Samedi 5 avril : fest-noz anniversaire aux Ursulines
Au programme, de nombreux groupes qui sont passés par le concours comme le duo Hamon-Martin (vainqueurs 1996 du premier concours), le groupe trégorrois War-Sav (vainqueur 2014), Digabestr (2ème du concours 2019), les musiciens d'Ampouailh lauréats dans des formules différentes. Les chanteurs de la Ribote ou le duo des Frères Le Bras sont quand à eux dans la génération récente issue du concours. Le bagad de Perros fera sa première sortie depuis son retour triomphant de New-York. Une place et un hommage seront rendus également aux piliers de l'organisation : le groupe Lusk composé notamment de Laurent le Goff et Gael Kervran, enseignants moteur de la relance du concours interlycées ou les frères Cornic.
La soirée débutera à 17h par l'organisation d'un atelier d'initiation à la danse bretonne animé par les lycéens de Dantec. Le fest-noz quand à lui débutera vers 18h par une aubade du bagad de Perros. Une restauration sera prévue sur place, assurée par l'école Diwan de Lannion. Une buvette sera tenue par Ti ar Vro et la Maison des Lycéens. Enfin, une grande exposition retracera l'histoire du concours dans le hall de la salle.
Entrée 8€ - Gratuit pour les lycéens - Début à 17h

Vendredi 21 mars, c’est la journée nationale des ATSEM. Cette journée vise à remercier ces professionnels pour leur travail quotidien, mais aussi à faire découvrir leur profession.
Les Agents Territoriaux Spécialisés des Écoles Maternelles (ATSEM) jouent un rôle crucial dans le bon fonctionnement des écoles maternelles. Leurs missions et fonctions peuvent être résumées comme suit :
Assistance aux enseignants : les ATSEM aident les enseignants dans la préparation et la mise en œuvre des activités pédagogiques. Ils participent également à l'accueil des enfants et des parents.
Surveillance et sécurité des enfants : les ATSEM veillent à la sécurité des enfants, que ce soit pendant les activités en classe, les récréations ou lors des sorties scolaires. Ils s'assurent que les enfants respectent les règles de sécurité.
Entretien et hygiène : les ATSEM sont responsables de la propreté des locaux et du matériel utilisé par les enfants. Ils veillent à ce que l'environnement scolaire soit sain et sécurisé.
Accompagnement des enfants : les ATSEM aident les enfants dans leurs besoins quotidiens, tels que l'habillage, la prise des repas et l'hygiène personnelle.
Communication avec les parents : les ATSEM jouent également un rôle de lien entre les enseignants et les parents. Ils peuvent transmettre des informations importantes et répondre aux questions des parents concernant la vie scolaire de leurs enfants.
A Lannion, la mairie emploie 20 ATSEM qui travaillent dans les 7 écoles maternelles de la ville. Elles (car à Lannion, il s’agit exclusivement de femmes) œuvrent chaque jour pour le bien-être et l’épanouissement des enfants scolarisés en maternelle.
En période scolaire, elles sont présentes chaque jour d’école de 7h30 à 17h30. Lors des vacances, place à l’entretien des locaux et la formation, comme la formation PSC1 (premiers secours) qu’elles ont suivi en février dernier.
Pour en savoir plus, lire le portrait d’Olivia Lemesle, ATSEM à Pen ar Ru, paru dans notre magazine d'avril 2022.
(photo d'archive à l'école du Rusquet)

La Ville de Lannion est intervenue mardi lors la 9e édition des rencontres européennes de la participation à Strasbourg pour évoquer, avec la Région Île-de-France et le Conseil national consultatif des personnes handicapées, les liens entre participation citoyenne et inclusion des personnes en situation de handicap.
Une belle opportunité pour Marielle Maréchal, chargée de mission handicap et inclusion à la Ville, et Carine Hue, conseillère déléguée, de présenter le diagnostic "autonomie et inclusion" qui a remporté le prix de la participation l'an dernier.
Concrètement, ont été abordés :
- tous les éléments à prendre en compte pour permettre l'accès à la participation pour les publics empêchés,
- les apports de la participation des personnes en situation de handicap là où on les attend le moins,
- les points d'amélioration et difficultés rencontré.

L’école publique à Lannion, ce sont 1000 élèves répartis dans 8 écoles, dont 2 proposent la filière bilingue français-breton. Ce sont aussi de très nombreux animateurs et animatrices qui prennent le relais des enseignants sur les temps périscolaires (matin, midi et soir). « La pause méridienne est labellisée Accueil de Loisirs, avec un taux d’encadrement important et un projet pédagogique. C’est bien plus que de la garderie », défend Fabien Canévet, adjoint aux politiques éducatives. La Ville de Lannion compte aussi, parmi ses agents, une éducatrice spécialisée et une monitrice-éducatrice qui accompagnent sur ces temps périscolaires les enfants qui ont des besoins spécifiques : un vrai plus pour ces enfants qui peuvent être présents à tous les moments de l’école, et une aide précieuse pour les parents !
L’école publique, c’est aussi l’accès à un repas équilibré chaque jour, cuisiné en régie avec 90 % de produits biologiques et/ou locaux. Une fois par semaine, le repas est végétarien. Le prix du repas est indexé sur les revenus familiaux, le tarif le plus bas étant fixé à 50 centimes. Les tarifs des accueils périscolaires sont aussi calculés au plus juste selon les ressources des familles.
Les écoles publiques de Lannion sont, comme partout, soumises à la carte scolaire. Selon le quartier d’habitation d’une famille, son enfant est orienté vers telle ou telle école. Dans chacune des écoles de la ville, des spécialités ou des projets pédagogiques originaux sont mis en place : anglais renforcé à Pen ar Ru, bilinguisme français-breton à Pen ar Ru et Saint Roch, orchestre à l’école à Woas Wen, inclusion avec une UEMA (classe maternelle autisme) au Kroas Hent, école numérique à Morand, etc. Des projets ponctuels sont aussi développés par les enseignants, comme le projet Cirque en classe à Servel.
Découvrir la vidéo : L'école publique, une chance pour tous !
En mars-avril, il est déjà temps d’inscrire votre jeune enfant à l’école pour la rentrée 2025-2026 ! Pour cela, voici la marche à suivre :
1) Prendre rendez-vous auprès de la Direction éducation et vie sportive
Cité administrative de Kermaria -11 boulevard Louis Guilloux à Lannion
02 96 37 76 28 -
Lundi : 8h15-12h30 (fermé l’après-midi)
Mardi, mercredi, jeudi : 8h15-12h / 13h30-17h
Vendredi : 8h15-12h / 13h30-16h30
Fournir les documents suivants :
- Livret de famille, carte d’identité ou copie d’extrait d’acte de naissance
- Justificatif de domicile
- Attestation de vaccination à jour
- Attestation CAF ou MSA
2) Prendre rendez-vous avec le directeur ou la directrice de l’école pour échanger avant le début de l’entrée à l’école de votre enfant.

Le programme festif de la saison 2025 s’annonce vibrant ! On vous dévoile les premières dates, avec de la musique, du sport, des animations pour les familles, du théâtre… Notez-les dans vos agendas !
Et surtout, save the date pour l’évènement qui marquera le lancement de la saison aussi bien qu’il fêtera la fin du vaste chantier des quais : rendez-vous samedi 26 avril, dès 14h et jusqu’à la nuit, pour une inauguration festive, en famille, placée sous le signe de la convivialité et des lumières ! On ne vous en dit pas plus pour l’instant, mais ça sera… spectaculaire !
Pour compléter ces temps forts du printemps et de l’été, les associations sont invitées à proposer d’autres animations ou évènements d’avril à juillet, sur la nouvelle esplanade du quai d’Aiguillon ou plus largement en centre-ville. La Ville pourra apporter un soutien aux associations : démarches, matériel, promotion… L’appel à projet court jusqu’au 24 mars !
Pour y répondre : www.participation.lannion.bzh ou sur format papier à l’accueil de la mairie.